Depuis Paris
C’est le souvenir de la première nuit qu’on passe dehors à faire la fête. On oublie les règles et les limites. On est prêt à tomber amoureux. Et on se dit que les vêtements vont peut-être faire la différence, pour séduire, pour plaire. On entre dans l’ère de la post-innocence. » Quand Kris Van Assche raconte l’esprit de son défilé, il n’a plus 41 ans, il en a 16 ou 17. C’est un ado. D’ailleurs, il a une allure d’ado.