Des mains qui cultivent la terre pour nourrir Bruxelles, il y en a. Au sud du pays, des petits producteurs cherchent les recettes d’une culture rentable à destination de la capitale. Mais ce dont ils ont besoin, c’est davantage d’un soutien logistique que d’un accès à la terre, comme l’avait évoqué le ministre bruxellois Alain Maron.