Comme un parfum de crise diplomatique. Emmanuel Macron, au dernier jour d’une tournée en Europe de l’Est pour convaincre les pays récalcitrants de la nécessité de durcir la directive sur le travail détaché, a violemment critiqué la position polonaise sur le sujet. La Première ministre Beata Szydlo a en effet affirmé que Varsovie refuserait « jusqu’au bout » une réforme de la législation existante, « dans l’intérêt des travailleurs polonais ». La déclaration a remonté le président français qui en a profité pour critiquer l’attitude générale de la Pologne. «