De l’aveu de son leader, Martin Schulz, le résultat électoral du SPD est « difficile et amer ». Un euphémisme : avec quelque 20 % des suffrages exprimés, les sociaux-démocrates réalisent leur pire performance électorale depuis la Seconde Guerre mondiale. Une claque qui rappelle celle reçue par le Parti socialiste français lors des législatives du mois de juin, ou celle – virtuelle à ce stade – annoncée au PS francophone lors de sondages publiés en septembre.