On pourrait aisément, pour ce deuxième album du chanteur-batteur bruxellois, le rapprocher des excellents Florent Marchet, Bertrand Belin, Mickey 3d, voire Miossec ou Dominique A. Si ce n’est que Mathias aime chanter « Blankenberge » et « La fille du Nord » avec des voix d’opéra, des bidouillages électros et de la mélancolie à souhait.
Excellemment produit par Gil Mortio, qui vient de faire de même avec le dernier Semal, Bressan impose son univers francophone original tout en séduction.