« Sans moi, il n’y aurait plus de foot à Molenbeek. » Cette maxime était devenue une ritournelle tant Johan Vermeersch l’a répétée durant son mandat à la tête du FC Brussels. « La réussite du projet actuel est la preuve qu’il s’était trompé sur toute la ligne. Il y a plus de monde maintenant qu’il n’y en avait parfois au Brussels en D1 », confie le réalisateur Stephan Streker, pour qui le club « traverse une des plus belles pages de son histoire. » « Certes, le matricule n’est plus le même, mais le stade et les supporters sont restés », explique de son côté Rodrigo Beenkens.