Un client entre, un autre sort. Thomas Moreau et Vanessa Thomas sont au four et au moulin dans leur GraspHopper. Il y a moins de question qu’au début sur le fonctionnement de leur épicerie bio et à objectif zéro déchet, mais il leur faut peser chaque marchandise qui sort. Stéphane Vanden Eede, un client assidu, met trois belles pommes bio sur le comptoir. Il en revient à 2,42 euros, mais il sort un billet de 2,5 « Talents ». Sans souci, puisque le magasin est l’un des 156 prestataires qui acceptent cette monnaie locale. Cependant, comme il n’existe pas de pièce dans cette « devise », il reçoit huit cent en retour.