Less is more. Voyez ce qu’on peut faire avec un piano, une batterie et quelques touches électroniques.
Cette première sortie de Glass Museum navigue entre le jazz et un lyrisme néoclassique qui louche vers la musique de film. Un univers impressionnant de maîtrise pour un si jeune groupe. Lequel s’installe d’ores et déjà dans les pas d’un BadBadNotGood, voire d’un Nils Frahm – ou quelque part entre ces deux pôles.
A suivre de près, à coup sûr.