Sur son précédent album, How Big, How Blue, How Beautiful, Florence parlait essentiellement de rupture sentimentale.
Les tourments de l’amour sont toujours bien présents sur ce quatrième opus, mais la vie a davantage la couleur de sa robe sur la pochette et l’espoir est porté ici bien haut avec des chansons fortes, presque chevaleresques, aux couleurs sans doute plus folk.
Florence se révèle plus également, allant jusqu’à parler, dans « Hunger », de ses troubles alimentaires à l’adolescence.