En 2015, la Belgique s’est dotée d’un « fonds de transition énergétique ». Une idée du gouvernement fédéral, portée par la ministre de l’Energie Marie-Christine Marghem (MR). Ce fonds est alimenté chaque année par les 20 millions de taxe nucléaire versés par Electrabel, en contrepartie de la prolongation de Doel 1 et Doel 2.
Son but ? Financer « la recherche et le développement dans des projets innovants dans le domaine de l’énergie et notamment pour développer la production et le stockage d’énergie ». C’est en tout cas ce qui figure dans l’exposé des motifs, annexé au projet de loi voté en 2015.