Il a fallu « FrontX » pour se rendre compte de l’homogénéité des profils socio-culturels représentés dans les spectacles jeune public. Jusqu’ici, on y voyait surtout des enfants ou adolescents blancs, non handicapés, non-immigrés, de la classe moyenne, se débattant avec des intrigues de cour de récré, des addictions aux drogues ou aux jeux vidéo, et des relations sentimentales ou parentales plus ou moins compliquées.