Les syndicats CGSP – Acod ont déjà eu leur rôle à jouer dans les révélations qui éclaboussent Jan Fabre, en exigeant notamment, il y a quelques mois, de Troubleyn, sa compagnie, un règlement de travail et le nom d’une personne-ressource en cas de harcèlement moral ou sexuel à l’intérieur de la compagnie (deux prérequis qui semblaient inexistants), et en soutenant les signataires de la fameuse carte blanche incriminant l’artiste anversois. Ils ne lâchent pas pour autant le morceau aujourd’hui.