Injuste, impraticable et non rentable. C’est le jugement sévère que les chirurgiens plastiques portent sur la taxation d’une partie des actes qu’ils posent. Une des mesures du « tax shift », voté vendredi. Réaction protectionniste et corporatiste ? Ils s’en défendent. Interview exclusive de Gaëtan Willemart, président de la société royale de chirurgie plastique.