Les prétendues révélations ne contiennent «quoi que ce soit qui pourrait, même de loin, constituer une violation de toute loi, statut ou règlement» a réagi dans un communiqué la FIFA, aux éléments rassemblés par l’European Investigative Collaborations, un consortium de médias européens, publiés vendredi dans Le Soir, l’hebdomadaire allemand Der Spiegel et sur le site d’information français Mediapart. Ils concernaient essentiellement son (nouveau) président, Gianni Infantino, du temps où il était secrétaire général de l’UEFA (de 2009 à 2016) présidée par Michel Platini, et depuis qu’il est à la tête de la fédération mondiale de football.