La proposition de la Commission européenne visant à protéger les lanceurs d’alerte ne pourra-t-elle finalement pas couvrir le type de faits pour lesquels elle a été présentée, c’est-à-dire les révélations d’abus fiscaux ? C’est ce qu’avancent les juristes du Conseil de l’UE, où sont représentés les États membres dans la négociation. Le service juridique estime que l’aspect « révélations fiscales » ne peut pas être traité dans ce texte et doit faire l’objet d’une proposition législative séparée.