La violence serait-elle en passe de se banaliser, de devenir une forme parmi d’autres de contestation politique, voire la seule façon de se faire entendre dans une démocratie représentative devenue sourde et aveugle ? On est en droit de se poser des questions après la répétition, week-end après week-end, d’images d’affrontements entre gilets jaunes et forces de l’ordre, en provenance de France.