La lenteur avec laquelle la Commission électorale indépendante avait « délibéré » avant de communiquer le résultat des élections présidentielles avait déjà de quoi inquiéter. Et l’on pouvait soupçonner que le « match nul » donnant la victoire à un « troisième homme », Félix Tshisekedi, résultait moins d’un simple comptage des voix que d’une arithmétique beaucoup plus politique…