Talonnés et/ou débordés par des formations populistes ici, souverainistes ailleurs, parfois par la gauche radicale, ou bien par les verts, les socialistes et sociaux-démocrates européens tentent tant bien que mal d’inverser la mauvaise courbe sondagière, entre autres celle qui (lire notre enquête Ipsos) crédite le SP.A de 11 % des intentions de vote en Flandre. Un étiage très insuffisant, qui tire toute la « famille » socialiste (SP.A-PS) vers le bas : pensez au nombre de sièges à la Chambre, déterminants dans le rapport de forces après le 26 mai, en vue de la constitution d’un gouvernement fédéral.