Pendant ces quatre années à la présidence du MR, on a parfois jugé en interne Olivier Chastel « trop discret », trop « peu présent médiatiquement », pas assez au combat pour les idées bleues. Certains pointaient un côté « dilettante ». Les plus cyniques chuchotant que « si tous avaient été d’accord de porter ce michelien à la présidence, c’est qu’il ne gênait personne ». Les plus amènes jugeant au contraire que s’il avait été élu avec 94 % des voix, c’est qu’il était capable, lui, de travailler avec tout le monde (comprenez : tous les clans). Ces dernières semaines, on le disait « affecté », « triste », voire « déprimé