La situation des élèves belges en temps de covid est moins préoccupante que celle de nombre de leurs condisciples européens. Mais l’enseignement hybride imposé dès la troisième secondaire pèse de plus en plus à beaucoup d’adolescents.
Aujourd’hui, les « variants » venus de Grande-Bretagne, d’Afrique du Sud et surtout du Brésil gâchent les espoirs donnés par la vaccination, en faisant planer la menace de nouveaux durcissements du confinement.
Se chamailler, c’est malin ? Non, la suédoise l’a prouvé : les disputes internes y ont mis à mal la réalisation de réformes, la crédibilité de l’équipe et finalement sa survie.
Il est certes légitime qu’en pleine crise socio-économique, chaque entité cherche à tirer son épingle du jeu budgétaire. Mais cette stratégie prend d’autant plus d’importance, sur la scène politique, que l’échéance de 2024 se rapproche.
On se doutait depuis un certain temps déjà que le 45e président n’allait pas assister à l’investiture de son successeur, on en a maintenant la confirmation. Fidèle à sa réputation, Donald Trump déroge une fois de plus à la tradition sans se soucier du reste.
La Belgique veut se montrer bonne élève européenne dans le respect des priorités de son plan de reprise. Pour lequel on trouve sur la table bien plus de demandes qu’il n’y a d’argent européen.
Dans ce concert fort grisâtre, il faut bien l’avouer, les annonces de ce vendredi relatives à la stratégie de vaccination sont particulièrement bienvenues.
L’obstination de Trump à s’accrocher à tout prix au pouvoir et son discours populiste teinté de racisme primaire vont laisser des traces dans la société américaine.
Au 1er janvier, Londres cessera d’appliquer le droit européen. Les Européens cesseront de considérer le pays comme l’un des leurs. La page est tournée.
Envers et contre tout, Européens et Britanniques ont conclu à la dernière minute un accord post-Brexit, essentiellement commercial. C’est évidemment mieux que le « no deal ». Reste, au bilan, un échec : l’UE est rabotée.
Pour les pays en développement ou émergents qui souhaitent commencer sans tarder une campagne de vaccination, il y a la solution chinoise. Moins sophistiquée, mais moins chère et sans stockage à très basse température.
La vaccination sur une base volontaire est conforme aux valeurs de liberté et de démocratie qui sous-tendent notre société. Et dans un contexte pandémique, la responsabilité est fatalement collective.
La secrétaire d’Etat au Budget dévoile les prix d’achat des vaccins. Pareille bourde, venant après la saga des masques ou d’autres épisodes, n’est pas de nature à renforcer la confiance.
Toutes les informations pointant des transgressions valent évidemment mention, mais nous avons aussi la responsabilité de considérer leur poids réels dans la situation sous covid.
La Banque nationale s’est livrée à son exercice semestriel de prévisions économiques, pour qualifier non seulement la situation actuelle mais aussi les incertitudes liées au futur.
Difficile rôle en tout cas que celui de ces 24 références scientifiques ou de terrain amenées à conseiller un Etat belge aussi peu efficace dans la prise de décisions que dans leur application.
Ces joueurs sont à double titre symboliques. Primo, ils marquent les esprits. Secundo, ils responsabilisent les joueurs et les arbitres de tous les autres matchs qui suivront.
On ne peut qu’être soulagé que la justice aujourd’hui soit à la manœuvre. La presse, elle, malgré tous ses efforts, n’a jamais réussi à obtenir de réponse ou de justificatifs probants.
Une des raisons invoquées pour supprimer la cour d’assises, c’est la difficulté pour un jury populaire de maîtriser les aspects techniques d’une telle procédure.