Le rêve doré belge s’est donc brisé sur la muraille de cynisme et de fourberie bâtie par les Français dans l’insolite stade Krestovski de Saint-Pétersbourg. Mais demeure, tout de même, parmi tous les débris d’amertume, l’idée d’un jeu plein d’envie et résolument tourné vers l’avant qui a traversé cette Coupe du monde avec conviction, du moins jusque dans le dernier carré de la compétition.
Coupe du monde: le râteau des pronostics de l’intelligence artificielle
Par Philippe Laloux
Médias |
A en croire les modèles prédictifs des banques, l’Allemagne aurait aligné une deuxième victoire finale. Seul EA Sports (éditeur du jeu « FIFA ») avait prédit une finale française, mais face à l’Allemagne. Ce n’est pas demain la veille que les algorithmes pourront « spoiler » le Mondial.