"Tax shift", deux termes pour désigner le glissement fiscal que le gouvernement Michel souhaite mettre en place pour limiter les charges sur le travail et les compenser par d’autres sources de revenus.
Au 1er janvier, de nouvelles mesures du tax shift fédéral sont entrées en vigueur ; et cela va se voir sur les fiches de paie qui seront distribuées cette semaine.
Une croissance plus faible, un déficit plus profond et une amélioration marginale de l’emploi : le député socialiste Ahmed Laaouej s’appuie sur les prévisions du Bureau du Plan pour recaler la politique de la coalition Michel.
Le « tax shift » aura un impact important sur les finances locales. Auteur d’un « Livre noir des communes », le président du parlement de Wallonie dénonce la « déloyauté » du gouvernement Michel et lui demande de compenser le manque à gagner lié à la baisse des recettes liées aux additionnels sur l’impôt des personnes physiques.
Le parlement a voté vendredi une taxe sur la chirurgie esthétique. Mais la loi, mal foutue, est inapplicable, d’après les médecins. Qui demandent, au minimum, un report.
L’entretien accordé par la ministre du Budget au « Soir » a fait un tabac mercredi après-midi à la Chambre. Mais le feu nourri de l’opposition n’a pas déstabilisé Sophie Wilmès.
Un mois après son entrée en fonction, la nouvelle ministre du Budget, Sophie Wilmès (MR), revient sur les couacs budgétaires des dernières semaines. Elle assume aussi qu’à long terme, il manque encore plus de deux milliards pour financer le tax shift.
Les trois Régions devraient perdre 221 millions de recettes IPP dès 2016. En clair : 19 millions à trouver dès à présent à Bruxelles et 63 en Wallonie.
Dans les matinales des radios, la mesure phare prise par le gouvernement fédéral : la promesse de 100 euros net par mois pour chaque travailleur, a été largement commentée.
Le gouvernement devait trouver un milliard pour boucler l’année 2015. Il dit l’avoir fait. Mais certaines questions demeurent. Et la majorité est particulièrement peu loquace sur ce point.
Changement de style pour le président du Parti socialiste : l’attaque, c’est fini. Avec une sortie sur l’école, il cherche à exister dans un secteur où le CDH prend toute la place. Entretien.
Le PS conteste le chiffre avancé par le gouvernement : le glissement fiscal ne porterait que sur 1,7 milliard. Les Régions, dit-on, seraient mises à contribution pour 1 milliard. Décodage…
La hausse de la TVA sur l’électricité va provoquer une hausse des salaires, via l’index.En ces temps de modération salariale, les partis de droite ne sont pas chauds.
Si le trou d’un milliard d’euros n’est toujours pas confirmé – il serait exagéré –, ces soubresauts budgétaires irritent. Réuni en kern ce matin, le gouvernement règle d’abord les aspects budgétaires avant de reparler « tax shift ».
"Tax shift", deux termes pour désigner le glissement fiscal que le gouvernement Michel souhaite mettre en place pour limiter les charges sur le travail et les compenser par d’autres sources de revenus..