Depuis que son nom a été associé à la procédure de nomination de son demi-frère à l’ISPPC – procédure annulée complètement par la ministre de tutelle Valérie De Bue (MR) –, Olivier Chastel se tait. Ne répondant pas aux demandes d’explication. Parce qu’il est, nous dit-il aujourd’hui, « meurtri par les amalgames » et « mesure par ailleurs toute la difficulté de devoir parler d’un membre de sa famille ». Il a toutefois accepté de réagir assez brièvement ce jeudi après-midi. Pour se défendre en trois points.
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