Avec vous, le CDH se lance dans une grosse opération de refondation idéologique.
Oui. Vient un moment où l’on ne doit pas se contenter de faire l’appoint dans les gouvernements, jusqu’à considérer que c’était là notre seule plus-value, mais nous questionner sur ce que nous disons, ce que nous faisons, et la manière de se faire comprendre des citoyens. Lors de la mise au vert interparlementaire qui vient de se clôturer, nous avons pu prendre connaissance d’une étude, que j’avais commandité auprès d’une société de sondage, montrant qu’il y a un grand déficit de confiance avec les citoyens. Ce n’est pas propre au CDH, mais c’est plus accentué chez nous.
Comment se traduit ce déficit de confiance ?