La mort prématurée de Rachid, le 12 septembre 2018, quelques jours avant ses 60 ans, a été un choc, une douleur ravivée par l’écoute de l’album qu’il venait de terminer.
Je suis africain, c’est Rachid à son meilleur, croisant, comme nul autre, ce chaâbi algérien avec le rock façon Clash. Inspiré, Rachid chante « Minouche », « Andy Waloo », « Striptease »… en français comme en arabe et même, pour une fois, en anglais (« Like A Dervish »).
Oud, derbouka, violon, guitare… Tout est là, intact, venu d’outre-tombe pour notre plus grand bonheur !