Analyse
Ainsi, une seule conversation téléphonique avec Recep Tayyip Erdogan le 6 octobre aura donc suffi à Donald Trump pour bouleverser toute la donne en Syrie et sans doute même au-delà. Le feu vert que l’Américain avait alors donné au Turc à propos de l’opération militaire que ce dernier voulait lancer dans le Nord de la Syrie contre les Kurdes a en effet entraîné une série de conséquences néfastes qui étaient parfaitement prévisibles pour tout responsable politique tant soit peu compétent.