Un héros et un salaud : c’est le paradoxe de « l’ennemi public nº1 » français, tombé sous les balles des équipes du commissaire Broussard en octobre 1979.
Quarante ans après sa mort (« son assassinat », selon ses aficionados ; « une riposte proportionnée » à sa dangerosité selon la Cour de cassation française qui a classé sans suite en 2004 une plainte de sa famille contre la police), Jacques Mesrine suscite toujours une incroyable fascination oublieuse de son passé de « sale mec ».