ENTRETIEN
Lors d’un mémorable sommet européen, Donald Tusk s’était âprement opposé au président de la Commission Jean-Claude Juncker qui prônait son plan de relocalisations obligatoires de réfugiés. Tusk, depuis le début de la crise, avait défendu comme le Hongrois Viktor Orban qu’il fallait d’abord mieux contrôler les frontières. Le président sortant du Conseil européen revient sur les enseignements de ce qui fut l’une des grandes crises de son mandat.