Après les « Mazzù buiten » et les lazzis de dimanche, exit Felice le mardi. Ou plus exactement dès le lundi soir puisque le Conseil d’administration de Genk s’était finalement réuni avec quelques heures d’avance dans un lieu nettement plus discret que les étages supérieurs de la Luminus Arena. Le retour de voyage d’affaires à Nice du président Croonen fut donc bien plus mouvementé que prévu avec une mise à l’écart d’un entraîneur pour lequel Dimitri de Condé et lui avaient pesé de tout leur poids dans le but d’en faire le premier T1 francophone du club depuis la fusion en 1988 (Winterslag avait connu, en son temps, les passages de Robert Waseige et d’Henri Depireux).