Serait-ce un « quid pro quo » à l’européenne ? Un « échange de services » comme il en est question dans l’affaire, autrement louche, de l’impeachment présidentiel américain ? Personne ne le confirmera officiellement mais force est de constater que « l’ajustement aux noms des portefeuilles » de quatre commissaires-désignés décidé mercredi tombe à pic : à la veille de l’audition des trois derniers futurs membres de la Commission européenne, qui promet de ne pas être une simple formalité…