Le mois de février et le deuxième quadrimestre de l’année universitaire se profilent seulement au calendrier. Mais Serge Jaumain sait déjà qu’il pourrait entamer devant ses étudiants son cours d’histoire de Belgique par une évocation de l’affaire Nethys. « C’est en tout cas une des possibilités », indique le professeur de l’ULB. « J’insiste toujours sur l’un ou l’autre élément de l’actualité pour montrer que l’objectif d’un cours d’histoire comme celui-là, c’est de comprendre la Belgique contemporaine. »