HP qualifie l'offre d'"incertaine" et souligne en particulier qu'il n'est pas certain que Xerox, qui a donné ses lettres de noblesse à la photocopie moderne, puisse lever les fonds nécessaires pour honorer la partie en numéraire de son offre de quelque 33 milliards de dollars.
HP juge également que le poids de la dette, trop imposant, pourrait aussi peser sur l'avenir de la nouvelle entité.
Le 21 novembre, Xerox avait haussé le ton et donné un ultimatum à HP. "A moins que nous ne nous mettions d'accord sur une fusion amicale avant 17 heures (heure de New York) le lundi 25 novembre 2019, Xerox s'adressera directement à vos actionnaires pour les convaincre du bien-fondé de l'opération", menaçait M. Visentin dans un courrier.