L’étude que publie aujourd’hui la revue Regards économiques de l’UCLouvain et que Le Soir a pu consulter en primeur va bousculer dans le milieu pharmaceutique. Elle tend à prouver que Big Pharma abuse de l’impact émotionnel des maladies rares pour fixer des prix surfaits, en gardant le secret sur ses vrais coûts de production. Démonstration avec une des autrices, Sandy Tubeuf, professeur d’économie de la santé et chercheuse à l’Institut de recherche santé et société (IRSS).
Pourquoi les prix fixés pour ces médicaments rares seraient-ils exagérés ? Ce sont des maladies complexes, pour lesquelles ils n’existent aucune solution…