La mondialisation libérale et le repli national-populisme sont les deux traits distinctifs des sociétés post-industrielles du début du XXIe siècle. Dans Mondialisation et national-populisme, le volumineux essai qu’il vient de faire paraître, le secrétaire général du Centre national de coopération au développement, Arnaud Zacharie, montre en quoi ils sont l’envers et le revers d’une même médaille.
Vous expliquez que la montée des nationalismes et des populismes est au fond une sorte de réflexe de défense un peu désespéré des perdants de la mondialisation. Un phénomène compréhensible mais dangereux…