Ainsi, au-delà des inévitables imprécations entendues en provenance de Téhéran, la « vengeance » concoctée par le régime des ayatollahs après l’assassinat par les Etats-Unis du général Qassem Soleimani s’est résumée, en tout cas dans la nuit de mardi à mercredi, à des frappes par missiles sur deux bases militaires irakiennes abritant des contingents du corps expéditionnaire américain. Sans, au total… une seule victime, même si des médias iraniens ont évoqué un carnage. Dix-huit heures plus tard, à Washington, Donald Trump a en quelque sorte validé le message, renonçant à lancer des représailles.