Entretien
Les ennuis judiciaires d’un médecin liégeois soulignent une fois de plus le caractère extrêmement sensible des questions de fin de vie. Si la sédation palliative est un aspect de tout ce large débat, un autre – très éloigné – est lié à la possibilité de voir évoluer la législation actuelle jusqu’à autoriser le suicide assisté sans raison médicale pour des personnes qui « simplement » désirent « refermer le livre de leur vie ». Avocate et présidente de l’Association belge pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), Jacqueline Herremans fait le tour de la question.