L’euthanasie de Tine Nys, 38 ans, est depuis le début du procès intenté pour assassinat devant les assises de Flandre-Orientale, siégeant à Gand, aux trois médecins associés à sa mort voulue, le prétexte à une remise en cause de la loi sur la fin de vie. La défense des trois accusés l’avait dit dès le début du procès : « il y a dans ce procès une partie civile qui ne dit pas son nom, l’Eglise ».