En sports mécaniques, il n’y a que les pilotes de MotoGP qui forment un réel groupe de pression. Que l’aménagement d’une portion de circuit ne leur plaise pas quand ils débarquent un jeudi d’avant Grand Prix et ils menacent tout de suite de ne pas prendre la piste. Quand on flirte avec les 350 km/h avec pour seules protections un casque et un cuir en peau de kangourou, on apprécie que les normes de sécurité soient respectées à la lettre.
En Formule 1, il existe le GPDA (Grand Prix Drivers Association) dont l’influence a fluctué selon la personnalité de son président et le fait qu’il représente l’ensemble de la corporation ou pas.