Si les nouvelles mesures de confinement imposées pour faire face à la propagation du coronavirus impliquent une réorganisation du mode de vie de tous et toutes, elles sont d’autant plus difficiles à appliquer pour les personnes qui, aujourd’hui, n’ont pas de domicile fixe. En fin de période de « plan hiver, » la situation vient également compliquer un peu plus l’organisation des structures d’accueil pour les personnes sans-abri.
« Les centres d’accueil pour ces personnes sont évidemment des lieux hautement problématiques. Si un de ses lieux devient un cluster de contamination, les conséquences seront dramatiques » mettait encore en garde ce vendredi le ministre Alain Maron (Ecolo), chargé de l’Action sociale à Bruxelles.