Dans « Centre ville », Calo se fout des modes et reste lui-même, préservant cette tendresse des sentiments qui ne tombe jamais dans la mièvrerie. Notre critique.
Le pianiste d’aujourd’hui révère le pianiste d’hier. Quatorze plages, quatre morceaux de Monk, un de Miles, un du Duke, huit de Beasley himself : l’écoute intégrale.
Un album fidèle à un genre et un son que les rockeurs australiens sont seuls à encore défendre avec autant de maîtrise. A découvrir en écoute intégrale.
« Les enfants terribles », un voyage musical qui transcende les genres et les styles, qui procure un tas d’émotions fortes et variées magnifiées par une interprétation subtile aux couleurs musicales multiples.