Ce lundi, je n’ai pas reconnu mon hôpital : pas de voitures sur les routes, des parkings vides et, en arrivant, j’ai eu l’impression de travailler le week-end, tant l’hôpital était désert. Mais dans mon unité de soins intensifs, qu’on appelle « salle 30 », l’organisation avait radicalement changé. C’est un autre service, une autre médecine – c’est impressionnant !