Les bleus ont, disent-ils, engrangé d’« excellents résultats » en Wallonie et « stabilisé » leurs élus à Bruxelles. Malgré ce discours officiel positif, bien des bleus reconnaissent un « échec ». Et demandent une sérieuse analyse en interne. Boris Dilliès, numéro deux du MR bruxellois, est de ceux-là.