Mais pourquoi, diable, s’acharner ainsi sur l’organisation d’un événement, si populaire par surcroît, alors que l’Euro de foot, les Jeux olympiques, les tournois de tennis et autres réceptions sur les circuits automobiles ont été annulés ? La question en devient presque un sujet de querelle, en plein confinement, face aux interrogations subtiles et avisées des proches, moins greffés que nous à la religion du Tour de France. Et si nous tentions, par un exposé le plus objectif possible, de répondre à une interrogation certes dérisoire au milieu des drames humains provoqués par le Covid-19 ?
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