Le document fait un peu plus de trois pages. Il est signé par une septantaine d’académiques francophones et flamands et plusieurs dizaines de responsables de petites entreprises de la transition. Les disciplines sont mélangées : ils et elles sont économistes, climatologues, bioingénieurs, experts des migrations, spécialistes de science politique, ou urbanistes… Leur propos : « La santé a reçu la priorité et tout le monde s’en réjouit ». Désormais, « l’économie revient au premier plan ». Nécessaire, disent-ils, avant d’alerter : « Pas n’importe comment ». En d’autres termes, pas comme avant…