Plutôt vrai.
Le 4 mai, de nombreux travailleurs retourneront « au turbin ». Si leur sécurité n’est pas garantie par l’employeur, des recours sont possibles pour ces derniers. Un droit de retrait, comme en France, existe, d’ailleurs, chez nous. Jamais mobilisé, il pourrait, en pratique, être complexe à exercer.