Baguenaudant sur les réseaux sociaux – confinement oblige ! –, je découvre, il y a quelques jours, ce gazouillis : « Je suis absolument désolé mais il faut arrêter avec “réouvrir”. C’est “rouvrir”. » Peu ébranlé par cette injonction, je passe à la concurrence pour découvrir, sur Facebook, un post du même tonneau : « Marre qu’on “réouvre” ! On rouvre, ndd ». Ayant constaté que des collègues linguistes se chargeaient de répondre illico à ces interpellations comminatoires, j’ai regagné ma thébaïde, le cœur serein.