Le 24 février dernier, alors qu’était annoncé le troisième cas de contamination au coronavirus en Espagne, un groupe d’amis âgés de 33 à 37 ans se retrouvait dans son bar habituel à Hortaleza, un quartier de classe moyenne de Madrid comme on peut en trouver dans toutes les grandes villes espagnoles. En 2010, ils étaient apparus en une du journal El País pour donner un visage à cette génération appelée nimileuristas