La pression continuait lundi sur le Premier ministre britannique Boris Johnson, alors que celui-ci refuse de licencier son proche conseiller Dominic Cummings, cible d’accusations selon lesquelles il n’aurait pas respecté les mesures de restrictions liées au coronavirus.
Au moins 15 députés conservateurs se sont joints à l’appel des travaillistes de l’opposition et des libéraux, ainsi que de responsables du secteur de la santé et des évêques réclamant l’éviction du principal conseiller du Premier ministre.
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