Après une rentrée progressive des classes maternelles la semaine dernière, le retour des primaires, ce lundi, ne suscite apparemment aucun remous particulier.
Le calme après la tempête. Car dès l’annonce, le 27 mai, de la réouverture totale des écoles maternelles et primaires (balayant ainsi les strictes règles de sécurité jusqu’ici imposées aux établissements scolaires), syndicats, fédérations de pouvoirs organisateurs (PO), directions d’école et enseignants avaient exprimé – quasi unanimement – leur désarroi. S’estimant mis au pied du mur, ils comprenaient mal ce si brusque changement de cap.