C’est le paradoxe des afrodescendants de Belgique : plus diplômés que la moyenne nationale, mais écartés du marché du travail, avec un taux de chômage jusqu’à quatre fois plus élevé que la moyenne pour la première génération.
C’est le paradoxe des afrodescendants de Belgique : plus diplômés que la moyenne nationale, mais écartés du marché du travail, avec un taux de chômage jusqu’à quatre fois plus élevé que la moyenne pour la première génération.